22 juin 2008

19:49
en continu soubassement à force de ramifications moment du rameau all autour. les proportions se respectent seulement à la condition d'émettre leur propre lueur. se professionnalisent à chaque élément achevé. super fine jaillissante courte en courbes au centre desquelles. tu sais qu'elles ressemblent à des voix ? leurs chants persillent la reality monobloc. incidence calculée en moulure fissa.

19:26
tapote en grandes enjambées. la puissance se retient de façon régulière pas d'écart de même. valsent becs pistons touche de terreau. quand la piscine tue une couleur, soupçon de boitement. à chaque cintre vertical des tentatives avortées de camouflages. le paysage n'est qu'une suite de remorques dont l'une, rouge, tremble d'un essieu. il n'y a rien à faire. convocation de la clarté acoquinée avec le point d'orgue. dépose des gravillons contrecarrés. un triple filet trébuche.

3 juin 2008

12:54
super vague hachurée en éléments laiton s'arrêtent à chaque créneau. fâcherie des poudres blanches, grises s'éparpillent récupérées flottantes dans une autre pièce. ici semble se nettoyer à grands jets avec transparence liquide. affirmation des sas (roulement à bille, trace de gazon, percement inoxydable, manivelle de résistance). contre toute attente le bois perce par cerclage éparpillé et voltage excédent.

1 juin 2008

11:50
l'espace est frais à angle droit lumière jaune blanc des vitres coulure. en quelques mètres une régularité s'estompe siffle un grand geste recouvre à peu près les éléments escamotés du paysage gaufré par endroits, saupoudré à d'autres. des rayons (moyeu - gomme - gravité), n'arrêtent pas de déloger, extraire, faire tournoyer encore. à ce moment la nacre se mêle de chair.

00:45
mais ça râcle perd tout de suite de l'intensité creuse en paquets soit dans l'air soit entre l'étendue la plus dure et celle qui se laisse tout simplement caresser. au final approchement réduction immédiate des soupirs. en cale ils restent sur la paroi pour les déloger une tension de surface. le semblant d'animation vient des axes qui bougent peu, et l'un en fonction de l'autre évidemment.

00:28
la tranche ne permet pas tout de suite une entrée, aussi certaine frayeur (apogée de quelque chose) rebute. des traînées filent une impatience vient les chercher comme autant de jouets en métal ininterrompu. l'amplitude sèche magnifique attend pour au final se déjouer. il y a des pointillés tournants. d'un côté une gravité joue sur deux tableaux, de l'autre des courbes aller et retour dévient. au sol une double verticale irrigue. toutes ces machines persistent quand enfin le courant s'amoindrit laissant un liquide sourdre.