28 octobre 2008

11:42
claques nombreuses précisent l'inertie. entourée d'une plaque chaude et en même temps souple, elle se regarde par un seul œilleton. c'est l'inverse qui se produit alors : mise en couleur annulée, torsion difficile, horizontalité parfaite. rythme au dehors, au dedans, au service d'une forme d'hibernation. qui parle de soulagement?

11:17
sable serpentant entre petits disques. les filets sont ténus au moment pile où on les croisent. une patience répète, balayée, remplacée par des rails pérennes. substitution pourtant efficace, écrasement, moment de coulures. l'insistance finit par creuser une habitude à double battant. quelque chose pourtant subsiste, en parallèle, plutôt sombre.

22 octobre 2008

11:49
douceur oubliée du métal, rebonds aérés. comme pour la porosité, il n'y a pas possibilité de concentration, mais éparpillement : lignes fines verticales, agglomération en moyenne, tassement des unités, et un fond étroit. ce qui n'empêche nullement de larges plis de venir en transparence modifier quelques données considérées comme acquises. presque silence tassé à chaque pas.

11:30
couverture totale et petites paraboles de bois interdites de choc. paroxysme aussi presque immobile en équilibre de pression autour. recherche sans pause, continuée. l'auto-alimentation de la verdure persiste. on ne sait pas où tout tombe, à moins que ce ne soit entre des particules déjà éprouvées, beige à blanc, à noir, de même taille. au moment où la confusion submerge, dans l'attente, à force d'être là, chaque élément se distingue. par en dessous seulement, intermittence des rondeurs, arches urgentes, se dissipent.